INDECENT J’édite un gratuit indépendant depuis plus de 20 ans, sur une seule zone : toulon et sa grande agglo. J’étais un ancien du groupe havas, je suis parti suite à la fusion havas comareg. Je sais combien il est difficile d’éditer un gratuit, je me pose la question du devenir aux cotés du web. Depuis des années, j’ai mixé pub, infos locales (avec journalistes) et petites annonces. La pige nous donne leader sur notre marché. Mais, c’est difficile, c’est un métier d’artisans, de travailleurs, de besogneux, mais aussi de passionnés. J’ai dépassé la cinquantaine et j’aurai aimé transmettre. Je partage les inquiétudes de reclassement des uns et le sentiment de trahison des autres. Il est navrant cependant que quelques « confrères » utilisent ce blog pour recruter, surtout dans la période durant laquelle l’entreprise n’était pas liquidée judiciairement parlant. Dans de nombreuses villes, les salariés pourraient reprendre leur titre, en imaginant une société commune d’achat et de cautionnement. Laissons-les faire, sans vouloir piquer du personnel à tout prix. 1650 personnes dans la tourmente cela mérite d’abord l’écoute, le respect et un certain soutien.
INDECENT
RépondreSupprimerJ’édite un gratuit indépendant depuis plus de 20 ans, sur une seule zone : toulon et sa grande agglo. J’étais un ancien du groupe havas, je suis parti suite à la fusion havas comareg.
Je sais combien il est difficile d’éditer un gratuit, je me pose la question du devenir aux cotés du web.
Depuis des années, j’ai mixé pub, infos locales (avec journalistes) et petites annonces.
La pige nous donne leader sur notre marché.
Mais, c’est difficile, c’est un métier d’artisans, de travailleurs, de besogneux, mais aussi de passionnés.
J’ai dépassé la cinquantaine et j’aurai aimé transmettre.
Je partage les inquiétudes de reclassement des uns et le sentiment de trahison des autres.
Il est navrant cependant que quelques « confrères » utilisent ce blog pour recruter, surtout dans la période durant laquelle l’entreprise n’était pas liquidée judiciairement parlant.
Dans de nombreuses villes, les salariés pourraient reprendre leur titre, en imaginant une société commune d’achat et de cautionnement. Laissons-les faire, sans vouloir piquer du personnel à tout prix.
1650 personnes dans la tourmente cela mérite d’abord l’écoute, le respect et un certain soutien.