lundi 31 octobre 2011

Tinqueux Le 31 10 2011


Banderole à Iffendic

C'est pas grand chose une banderole mais c'est déjà ça.On a également tiré le 4 pages et allons le distribuer sur Rennes pour ceux qui ne pourront se rendre jusqu'à Lyon.



Article : L'Union

Les salariés de l'imprimerie Hebdoprint/Comareg déterminés à se battre

Publié le dimanche 30 octobre 2011 à 10H52

Hier après-midi, les salariés de Comareg et d'Hebdoprint ont décidé d'occuper l'usine de Tinqueux jusqu'à nouvel ordre.

TINQUEUX (Marne). Au lendemain de la fermeture par la direction du centre d'impression, les 150 salariés menacés de chômage se sont réunis devant le site. Ils crient à l'injustice et comptent se faire entendre.
LES salariés d'Hebdoprint sont toujours en arrêt de travail. Sur les quatre imprimeries du groupe à Tinqueux, Lille, Avignon et Rennes, trois sur quatre sont fermées. Les salariés ne se rendent plus à leurs bureaux, les ouvriers à leurs rotatives.
Cette fermeture décidée à la hâte est le résultat d'une réunion d'un comité d'entreprise extraordinaire qui s'est tenue à Paris, vendredi matin, visant à informer les représentants syndicaux de la future mise en liquidation de Comareg (la société éditrice de Paru-Vendu) et d'Hebdoprint (les centres d'impression du pôle de presse gratuite du groupe Hersant Média).
Trois repreneurs s'étaient pourtant manifestés pour une éventuelle reprise. Tous se sont désistés, y compris Michel Moulin, l'ancien président du directoire de la Comareg.
Devant le site de Tinqueux, les 150 personnes qui se retrouveront officiellement sans emploi le jeudi 3 novembre prochain, au soir de la décision du tribunal de commerce lyonnais qui, sauf surprise, devrait prononcer la liquidation judiciaire des firmes Hebdoprint et Comareg, se sont massées en famille hier. Et ont décidé d'occuper l'usine jusqu'à nouvel ordre à l'unanimité ou presque. 1 650 salariés au total seront laissés sur le carreau dans l'hexagone. Dont 150 pour le seul secteur marnais.
« On paie une mauvaise stratégie depuis le départ. On savait bien que les sites d'annonce gratuite sur Internet allaient nous plomber et nous menacer à terme. Voilà le résultat, des milliers de familles qui vont se retrouver dans la merde » confie un salarié d'Hebdoprint, 10 ans de roto au compteur.
Et c'est bien pour illustrer cette colère que les ouvriers ont sorti force bobines de papiers et ont enflammé des pneus devant le site.
« Écœurés »
L'amertume est grande, les salariés veulent des explications quant à la « gabegie ».
« Philippe Hersant et Dominique Bernard, nos patrons, nous laissent tomber. Nous avons tendance à penser qu'ils ont laissé pourrir le dossier Hebdoprint/Comareg depuis un moment. Il ne nous manquait que la date de notre licenciement. Mais Monsieur Hersant a une énorme fortune personnelle que je sache, pourquoi ne nous aide-t-il pas ? Nous ne bougerons pas tant que le liquidateur judiciaire ne sera pas venu nous voir pour nous faire des propositions concrètes » confie Anthony Aligard, représentant CFTC, syndicat majoritaire à l'imprimerie de Tinqueux. « Il y a encore deux ans, nous étions près de 3 000 salariés chez Hebdoprint et Comareg. il y a eu une première vague de licenciement il y a 7 mois. On pensait la saignée finie et le groupe capable de se redresser. C'est tout simplement consternant de voir ce qu'il se passe sans une seule once de compassion. On est écœuré. Tout notre boulot réduit à néant et nos familles plongées dans la misère ».
Le jeudi 3 novembre, dès 9 h 30, un bon nombre de salariés du pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media seront sur les marches du tribunal de commerce de Lyon. S'ils ne se font aucune illusion quant à leur avenir, ils comptent bien faire du bruit en publiant un quatre pages que les salariés promettent « tonitruant ».
Thomas DUPRAT

dimanche 30 octobre 2011

Le 4 pages des Organisations syndicales

Reçu sur la boite mail du Blog :

Ce 4 pages va être imprimé et distribué à LYON ainsi qu’au plus grand nombre.








S44

Reçu dans "Nouvelles Conversations"


bonjour,
Quels journaux seront imprimés et distribués lundi ?
merci 

Questions ?

Reçu sur la boite mail du Blog :


1 - Comment Hersant est il parvenu à éviter que le dernier journal soit imprimé ?
2 - S'il avait été imprimé, comment aurait il fait pour qu'il ne soit pas diffusé ?
3 - Qui est gagnant dans la non parution ?

Merci pour le Blog

Cordialement

Lettre au président

Reçu sur la boite mail du Blog :



Courrier envoyé par mail au secrétariat général de l'Élysée ce jour


Monsieur le Président de la République
Je me présente,
Mr Patrick Isset, délégué du personnel FO de la société Hebdoprint, filiale du groupe Comareg (PGA) presse d'annonce Gratuite (PARUVENDU) et intégré dans le groupe GHM (Hersant Média)
Votre ministre du travail Mr Bertrand suivait cette affaire avec le SIRI pour trouver une solution au démantèlement de notre groupe COMAREG-HEBDOPRINT) dont le siège social est situé à Lyon.
Nous sommes en plan de sauvegarde depuis plusieurs mois (Tribunal de commerce de Lyon) et à la recherche de repreneurs potentiels
Nous venons de subir il y a 3 mois une vague de licenciements (env. 700) Hors il se trouve que notre actionnaire principal (Mr Hersant résidant en Suisse) nous lâche définitivement, se désintéressant de notre sort.
Nous venons d'apprendre par le mandataire judiciaire au CE extraordinaire du 28/10/11 que malgré toutes les recherches effectuées il ne se trouve pas d'acquéreurs pour notre Groupe (sauf plan social d'envergure, ENCORE !)
Le mandataire Judiciaire nous à donc signifié que la société COMAREG-HEBDOPRINT serait déclarée en liquidation à la séance du 3/novembre/2011 au tribunal de commerce de Lyon
CELA CONCERNE 1650 PERSONNES qui n'ont pas eux la chance d'être MÉDIATISÉS et qui perdent d'un seul coup leur emploi et leur raison d'être (car nous sommes tous fière de nos compétences et de notre savoir faire au sein de notre profession)
J'ajouterai Monsieur le Président que c'est quand même un des plus GROS PLAN SOCIAL EN COUR À CE JOUR.
Je vous pose la question Monsieur le Président,
nous LAISSERA T-ON MOURIR sans qu'il se profil une solution ?
N'y-a-t-il pas en France des décideurs de la profession (IMPRIMERIES, GROUPES DE PRESSE) pour faire repartir cette machine bien huilée qu'était PARUVENDU (20 millions d'exemplaires/semaine quand même !) et qui par la faute de capitaine d'industrie trop soucieux d'engrangé des bénéfices (et Dieu sait que nous lui en avons fait gagné !) et qui n'a pas voulu s'adapter aux exigences de l'époque (virage du Web en autre)
et fournir des formations qualifiantes pour le personnel.
Les femmes et les hommes de HEBDOPRINT-COMAREG sont prêts à repartir,(infographistes et commerciaux, les rotatives des imprimeurs n'attendent que le redémarrage, si un repreneur venait, tout pourrai repartir dans les heures qui suivent.
ILS N'ATTENDENT QUE CELA MONSIEUR LE PRÉSIDENT !
JUSTE DU TRAVAIL ! LEUR TRAVAIL !
Je vous demande Monsieur le Président au nom de tous mes collègues (1650 personnes) de peser de tout votre poids sur les décision du tribunal de Lyon le 3 novembre pour que nous puissions encore trouver une solution ou que notre actionnaire majoritaire MR HERSANT PRENNE SES RESPONSABILITÉS !
Je vous remercie Monsieur le Président de prendre le temps de lire ce message
Veuillez agréer, Monsieur le Président, mes salutations distingués
Patrick Isset,
délégué du personnel FO D'HEBDOPRINT
Cordialement
Patrick 


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samedi 29 octobre 2011

Photos occupation de Tinqueux

Reçu sur la boite mail du Blog :






L'indemnisation des salaries

Reçu sur la boite mail du Blog

Article : La Tribune

Presse- 28/10/2011 | 18:22 - 146 mots

Vers une liquidation de "Paru Vendu"

L'hebdomadaire d'annonces gratuites n'a trouvé aucun repreneur.
Selon « les Echos », le tribunal de commerce de Lyon devrait prononcer le 3 novembre la liquidation judiciaire de Comareg (éditeur de « Paru Vendu ») et de l'imprimerie Hebdoprint, qui composent le pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media (GHM). La liquidation pourrait être assortie d'une poursuite de l'activité. Aucune offre ne reprise n'aurait été acceptée. Notamment, le fondateur Michel Moulin, soutenu selon « l'Express » par un fonds d'investissement proche de la famille Benetton, aurait retiré la sienne.
Comareg emploie encore 1.150 salariés et Hebdoprint 500, soit au total 1.650 personnes. Lors du dernier PSE, 573 salariés ont été licenciés chez Comareg et 117 chez Hebdoprint.

Il y a un an, Comareg s'était placé en redressement judiciaire, et Hebdoprint en procédure de sauvegarde. C'est « un premier pas vers le redressement puis la relance de Comareg et d'Hebdoprint », avait alors déclaré GHM.
Jamal Henni - 28/10/2011, 18:22

Avis d'obsèques

CONVOI pour le 3 Novembre

Reçu dans "Nouvelles Conversations"


POINT SUR LES BUS
Quelqu'un peut-il faire une liste des bus prévus? Merci 




vendredi 28 octobre 2011

Info

Chères collaboratrices, chers collaborateurs, 
Comme je vous l’avais indiqué dans mon dernier courrier, la date limite de dépôt des offres de reprise des sociétés Comareg et Hebdoprint était fixée au 25 octobre. Au total, trois manifestations d’intérêt ont été reçues. Les deux premières concernaient un périmètre d’activité tellement limité qu’elles ne pouvaient constituer une offre de reprise. La troisième, à condition d’être complétée, notamment sur le plan financier, aurait pu servir de base à un plan de cession. Toutefois, le 27 octobre 2011, les initiateurs de cette offre ont fait savoir qu’ils la retiraient. Lors de la prochaine audience au Tribunal de Commerce de Lyon le 3 novembre, l’administrateur judiciaire demandera donc au Tribunal de prononcer la liquidation des sociétés du pôle PGA. Si, comme c'est prévisible, le Tribunal fait droit à cette demande, les diverses activités du pôle pourront le cas échéant être reprises par des entreprises qui feraient acte de candidature auprès du liquidateur, après le 3 novembre. A cette occasion, celui-ci pourra examiner les deux manifestations d’intérêt reçues. Même si, dans une situation comme celle que nous vivons aujourd'hui, ces mots peuvent paraître vains, je tiens à vous dire que je comprends votre désarroi et votre inquiétude. Avec Luis Courtot et François Chaize et les équipes de direction des deux entreprises, nous avions engagé avec détermination et conviction un plan de refondation de nos activités. Malgré les moyens financiers apportés par GHM au soutien de la mutation de Comareg, 53 M€ depuis 2008 dont 14 M€ de trésorerie apportés encore récemment, le chiffre d’affaires ne s’est pas redressé suffisamment vite, ce qui ne nous a pas permis de déposer un plan de continuation. Je le regrette profondément et mesure pleinement les conséquences de cette réalité sur chacun d'entre vous. Comme je me suis toujours engagé à le faire, je ne manquerai pas de vous tenir informés à l’issue de l’audience. 
Dominique Bernard Président de Comareg et d’Hebdoprint 

Article : L'UNION

Les salariés d'Hebdoprint craignent le pire

Publié le vendredi 28 octobre 2011 à 16H41

Les salariés de la société HebdoPrint (Groupe Hersant Media) basée à Tinqueux, sont actuellement devant les grilles de l'entreprise. La centaine d'ouvriers et de commerciaux du groupe attendent le retour des représentants syndicaux du comité d'entreprise extraordinaire qui s'est tenu ce matin, à Paris. Ils craignent le placement de leur entreprise en liquidation judiciaire.

UNE de la S44-2011

ParuVendu A VENDRE

Reçu dans "Nouvelles Conversations"






URGENT
ParuVendu A VENDRE
1650 emplois menacés
s'adresser à l'actionnaire de notre journal ParuVendu*
* Il réside en Suisse et décide de nous sacrifier

Tous, lecteurs, salariés
Rendez-vous au Tribunal de Commerce de Lyon le 3/11 à 9h30
Les salariés 

Article : Les Echos

Comareg s'achemine vers une liquidation judiciaire

Les représentants du personnel, qui sont convoqués aujourd'hui en comités d'entreprises extraordinaires, ne se font plus d'illusion. Le pôle des journaux gratuits de GHM emploie encore 1.650 salariés.

28/10 | 10:09 | mis à jour à 10:11 | Marie-Annick DÉpagneux
Les représentants du personnel de Comareg et d'Hebdoprint, le pôle de presse gratuite du Groupe Hersant Media (GHM), convoqués aujourd'hui à des comités d'entreprise extraordinaires, à Paris ne se font plus d'illusion. Ils ne voient pas comment ces deux entités peuvent échapper à la liquidation judiciaire que pourrait prononcer le 3 novembre le tribunal de commerce de Lyon. Elle pourrait cependant être assortie d'une poursuite de l'activité. De fait, et d'après les informations données par les syndicats, Michel Moulin, l'ancien directeur général de GHM aurait annoncé hier soir qu'il se retirait.
Comareg emploie encore 1.150 salariés et Hebdoprint 500, soit au total 1.650 personnes. Sur ce nombre, et de sources syndicales, Michel Moulin, à l'origine de la marque phare Paru vendu (des journaux gratuits de Philippe Hersant), envisageait de ré-embaucher 500 personnes chez Comareg et 150 dans l'imprimerie. Ce projet d'offres devait être complété par la reprise de 140 salariés émanant d'autres partenaires dans le cadre de sociétés passerelles. Toutefois, Bruno Sapin, un des administrateurs judiciaires, précisait hier aux «Echos» qu'aucune preuve de financement n'était apportée.
MARIE-ANNICK DÉPAGNEUX, BUREAU DE LYON

Article : L'Express

Vers une liquidation de la Comareg, l'éditeur de Paru Vendu

Par Renaud Revel, publié le 28/10/2011 à 12:10, mis à jour à 12:17
Frappé par la crise et Internet, cet empire de la presse gratuite, aux 1800 salariés, n'a pas de repreneur. 
Hier, un géant des médias, fleuron du groupe Havas, puis pépite du groupe Hersant. Aujourd'hui, un groupe de presse à la dérive, au bord du gouffre ! La Comareg, cet empire de la presse gratuite aux 1800 salariés, éditeur, entre autres dizaines de publications, de l'hebdomadaire Paru Vendu, pourrait bien être rayé de la carte des médias français, le 3 novembre prochain, date à laquelle le groupe Hersant Média, propriétaire de cette entreprise de presse, réunit un Comité d'entreprise extraordinaire au cours duquel, faute de repreneurs, il pourrait prononcer le dépôt de bilan, avant la liquidation judiciaire. Laquelle devrait être annoncée le même jour.  
Car l'inquiétude est grande au sein de cette entreprise de presse atteinte de plein fouet par l'explosion d'Internet et la crise économique. Spécialisée depuis plus de 25 ans dans l'édition de journaux d'annonces gratuites, la Comareg n'a pu résister à cette lame de fond venue du web. Un à un, les marchés de petites annonces - immobilières ou autres - ont périclité ou migré sur la toile : saigné à blanc, le Groupe Hersant Médias n'a pas eu d'autres choix que de mettre cette filiale sur le marché. 
Trois offres ont fait ainsi leur apparition ces dernières semaines. Deux trop faibles pour retenir l'attention du tribunal de commerce. Et une troisième, bien plus solide, emmenée par un ancien cadre dirigeant du groupe, Michel Moulin. Ce dernier qui s'appuyait sur un fond d'investissement proche du groupe Benetton n'a pourtant pas pu boucler son tour de table. Si bien que le tribunal de commerce se retrouve aujourd'hui sans repreneurs et dans l'obligation de fermer la Comareg. C'est donc avec beaucoup de pessimisme que les salariés envisagent la suite, la liquidation de l'entreprise semblant, en effet, désormais inévitable. Même le Groupe Hersant Média, lui-même, a jeté l'éponge après avoir tenté d'embarquer la Caisse des Dépôts à ses cotés pour sauver sa filiale. Mais en vain.

jeudi 27 octobre 2011

COMITE DE GROUPE HERSANT MEDIA

Reçu dans "Nouvelles Conversations"

COMITE DE GROUPE HERSANT MEDIA Paris,le 21 octobre 2011

GHM est (quasi) mort, vive Hersant !
Dans des conditions de dialogue social toujours très difficile avec la direction de GHM, nous avons obtenu de Dominique Bernard, en comité de groupe, vendredi dernier, qu’il déclasse quelques informations dites « confidentielles ».
Comareg-Hebdoprint : novembre noir
Le pôle gratuit (Comareg et Hebdoprint) sera fixé sur sa survie ou sa liquidation dans quelques jours. Les repreneurs ou investisseurs éventuels ont jusqu'à ce soir, mardi 25 octobre, 18 heures, pour faire leurs offres de reprise.
Ces offres seront présentées en comités d'entreprise extraordinaires le 28 octobre puis seront examinées par le tribunal de commerce le jeudi 3 novembre. Soit trois semaines avant la date prévue, c'est dire l'urgence et les inquiétudes inhérentes des salariés. Le tribunal prendra alors sa décision selon des critères reposant essentiellement sur la pérennité des entreprises et le nombre d'emplois sauvegardés. Un délai supplémentaire de quelques jours pourrait être accordé avant la décision finale.
Les élus présents, meurtris dans leur âme, ont fait part de leur ressentiment face au gâchis humain et industriel de la Presse d’Annonces Gratuites de GHM. Tous restent persuadés que la volonté de sauver ce fleuron d'hier n'a jamais été réelle. Et tous souhaitent, au travers d'un soutien indéfectible, que ce formidable gâchis soit à l'avenir utile pour ce qui reste (ou va rester) du groupe GHM.
Comareg-Hebdoprint, c'était 3000 salariés avant 2008, puis 2 500 avant les plans de sauvegarde de l'emploi de 2010/2011 et aujourd'hui près de 1 500 « survivants ». 
Pour combien de temps encore ? Quelques jours ? Quelques heures ?
Pour consulter la suite de cet article :

http://www.filpac-cgt.fr/spip.php?article3270

Les représentants au Comité de Groupe Hersant Média

PS. : Pour soutenir les salariés de Comareg et Hebdoprint : rendez-vous devant le Tribunal de Commerce de Lyon le jeudi 3 novembre prochain. 

mercredi 26 octobre 2011

REPRENEURS

Laissé en commentaire sur ce Blog :

3 éventuels repreneurs:
-Un dossier concerne uniquement la reprise des LNI Dijon et reprise de 2 salariés;
-Un dossier d'un fond de placement pour reprise du site internet et de 11 salariés;
-Un dossier de Michel Moulin qui se propose de reprendre 500 salariés Comareg et 150 salariés Hebdoprint, il
évoque des partenaires pour reprendre en plus 60 salariés Comareg et 80 salariés d' Hebdoprint mais il
manque des informations importantes dans ce dossier notamment sur la prévision d'activité et le financement
nécessaire.

samedi 22 octobre 2011

Article : Tahiti Infos

Comareg sous la menace d’une liquidation




PARIS, le (21 octobre). Vu sur le site presse-news.fr 
Alors que la période d’observation s’achèvera en principe le 30 novembre dans le cadre du redressement judiciaire de Comareg (Paru vendu), le calendrier s’accélère pour le pôle de presse gratuite du Groupe Hersant média (GHM). Et ce, sous la pression de son administrateur ad-hoc, Laurence Lessertois. GHM devait, à la fin de la période d’observation, proposer un plan de continuation avec un fort volet de développement sur le numérique (45 millions d’euros de CA sur le web en 2012, au lieu de 18 en 2010). Il semblerait, à présent, qu’on s’oriente soit vers une reprise pure et simple (partielle ou totale), soit vers une liquidation judiciaire de l’activité. Dans ce cadre, les éventuels candidats ont jusqu’au mardi 25 octobre pour présenter leur offre. « Un délai d’à peine un mois pour ficeler un dossier, c’est très court, fait remarquer une source interne à Presse news, puisque la dernière audience du Tribunal de Lyon date seulement du 28 septembre ». Pour autant, il y aurait à ce jour trois marques d’intérêts vis-à-vis de Comareg, celle de l’ancien directeur général de GHM, Michel Moulin, créateur de la marque Paru vendu, celle de TF1 (propriétaire du quotidien gratuit Métro), et enfin une dernière offre (...)

Rédigé par presse-news le Vendredi 21 Octobre 2011 à 08:43 | Lu 318 fois

vendredi 21 octobre 2011

Article : Lettre A

LA LETTRE A N°1518 - 21/10/2011
Baroin au secours de Hersant ?
Philippe Hersant va-t-il faire financer par l'Etat le sauvetage de son groupe ? Ça coince à Bercy…

Pour organiser le rapprochement de Groupe Hersant média (GHM) avec Rossel (LLA nº1517), Philippe Hersant dispose d'un atout de poids : le soutien discret du ministre des finances, François Baroin. De son temps, le cabinet de Christine Lagarde avait pris ses distances avec un groupe dont les actionnaires sont des exilés fiscaux (Philippe Hersant est résident suisse). Mais les responsables du CIRI (administration du Trésor), en charge active du dossier, savent que leur nouveau ministre, député-maire de Troyes, a été élu sur les terres d'influence de GHM, qui possède L'Unionde Reims et Libération Champagne. Les liens familiaux sont aussi anciens : Robert Hersant, père de Philippe, et le puissant Michel Baroin, père du ministre, entretenaient les meilleures relations. Le premier, alors patron de la GMF et grand maître du Grand Orient, avait fortement soutenu l'expansion du papivore.
A Bercy, toutefois, certains fonctionnaires s'inquiètent des répercussions d'une opération qui obligerait les banques à abandonner plus de cent millions € de créances. Et, une fois de plus, se profile la nationalisation des pertes : afin de préserver son patrimoine, Philippe Hersant pourrait décider de mettre en dépôt de bilan Paris Normandie (dont il est actionnaire minoritaire aux côtés de GHM) et la Comareg (journaux gratuits). Sauf si l'Etat vient à son secours…

jeudi 20 octobre 2011

Petit pari entre amis !!!

Reçu sur la boite mail du Blog :



Même si la période ne prête pas a rire ...
 
Je vous propose un petit pari entre amis !!
 
Qui va ou peut reprendre dans quelques semaine le groupe, et surtout quelle stratégie mettra t il en place ??
 
a vos pronostiques et réponse dans quelques semaines

mardi 18 octobre 2011

Offre d'emploi

Reçu sur la boite mail du Blog :


Ex franchisés PARUVENDU (Rodez/Villefranche de Rouergue/Figeac) puis responsables commerciaux de différents médias, nous développons sur les 2 Savoie une régie publicitaire dédiée à la commercialisation d'espaces (print à 90% + web) sur des magazines gratuits thématiques, ciblés touchant 2 niches très porteuses.
Nous recherchons activement des commerciaux ou DP à vocation indépendante sur les villes suivantes : Annecy/Annemasse/Thonon les Bains/Cluses ou Sallanches/Chambéry ou Aix les Bains.
Si vous souhaitez plus de renseignements et pour un premier contact, merci de nous joindre uniquement par mail en détaillant simplement votre expérience dans le domaine de la publicité et en indiquant à quel moment vous êtes joignable.

Joëlle et Jean Michel BRETIN


jeudi 13 octobre 2011

Nouvel Article : Les Echos

11/10 | 19:15 | mis à jour à 19:28 | Anne Feitz

Mariage en vue entre Hersant et « La Voix du Nord »

Le Groupe Hersant Média (GHM) et le groupe belge Rossel (« Le Soir ») vont donner naissance au troisième groupe de presse quotidienne régionale en France : près de 900.000 exemplaires vendus chaque jour, plus de 500 millions d'euros de chiffre d'affaires, 800 journalistes.

Les deux groupes ont annoncé ce mardi être entrés en négociations exclusives pour créer une société commune, qui sera détenue à parité mais dont Rossel sera opérateur. GHM y apportera son pôle Champagne Ardennes (« L'Union », « L'Est éclair ») et son pôle Paca (« Nice matin », « Corse matin », « La Provence »), tandis que Rossel y logera ses actifs en France, « La Voix du Nord » et « Le Courrier picard ».
Certains actifs de GHM sont donc exclus de l'accord : la filiale de presse gratuite d'annonces Comareg (« Paru Vendu »), les quotidiens des DOM (« France Antilles ») ainsi que « Paris Normandie ». Ce dernier pourrait être apporté à la structure commune, mais après avoir été restructuré. Ce qui pourrait passer par un dépôt de bilan, a laissé entendre la direction de GHM au cours d'une réunion lundi avec les banques.
Le rapprochement reste subordonné à l'accord des 17 banques créancières de GHM : la direction souhaiterait qu'elles abandonnent 100 millions d'euros de créances, soit la moitié de la dette bancaire. Ce qui n'est pas gagné : les banques ne sont pour l'instant pas prêtes à consentir un tel effort.
Elles sont engagées depuis de longs mois dans un bras de fer avec GHM, et un mandataire ad hoc a été nommé à l'automne 2010. Le dossier est entre les mains du Ciri (Comité interministériel de restructuration industrielle). Les difficultés de GHM ont été précipitées par celles de la Comareg, dont les recettes ont fondu suite à la migration massive des annonces sur Internet. Placée en redressement judiciaire en novembre 2010, la Comareg a mis en place un vaste plan de restructuration en février, mais ses résultats restent pour le moment insuffisants (« Les Echos » du 30 septembre). « Le rapprochement avec Rossel ne permet pas de résoudre le problème Comareg », souligne Jean-Clément Texier, banquier expert de la presse.
Il permettra en revanche de rationaliser les journaux de GHM, qui connaissent des fortunes diverses : aux côtés de la pépite « Corse-matin », d'autres ont plus de difficultés comme « L'Union » ou, dans une moindre mesure, « Nice-matin ». Sans parler de « Paris Normandie », en lourdes pertes. « Rossel a une analyse juste de la consolidation à effectuer dans l'Hexagone, et il a prouvé son savoir-faire à "La Voix du Nord". Sa proximité géographique avec "L'Union" devrait permettre de dégager des synergies. L'apport des Journaux du sud de la France permet aux deux groupes d'être à parité », analyse Jean-Clément Texier.
Le groupe belge, qui ne cache pas sa volonté de s'implanter en France, avait annoncé en juin un projet de rapprochement avec le groupe Centre France (« La Montagne »). Mais il avait dû finalement y renoncer début septembre faute d'accord avec la Fondation Varenne, actionnaire de Centre France.
ANNE FEITZ

mercredi 12 octobre 2011

Article : AFP

Disparition du papier, conflits, cessions: la presse écrite en crise
PARIS — Abandon programmé de la version papier pour France Soir, lente agonie pour La Tribune, conflit d'envergure à l'imprimerie du Monde, douloureuse mutation au Parisien, changement de mains en vue au Groupe Hersant: la presse française traverse une zone de turbulences où elle joue sa survie.
Le projet de France Soir, quotidien né en 1944, d'abandonner définitivement le papier au profit du net et les négociations d'alliance du Groupe Hersant Media (GHM) avec le Belge Rossel, constituent les derniers épisodes en date d'une crise sourde, sur fond de baisse des ventes et de recettes publicitaires insuffisantes.
Car même dans la presse de province, longtemps prospère, des mutations sont en cours: en s'alliant à Rossel, GHM (27 titres régionaux) va réaliser des économies, mais aussi effacer la moitié d'une dette estimée à environ 200 millions d'euros, près du quart de son chiffre d'affaires.
La presse a subi de plein fouet les conséquences de la crise économique amorcée en 2008. Selon les titres, la publicité en 2009 a reculé de 10% à 30% en valeur alors que les ventes chutaient en moyenne de 7%.
Une légère reprise de la pub à partir de la mi-2010 et un regain sensible des ventes au numéro depuis 2011 grâce à une actualité forte (Fukushima, Ben Laden, DSK...) n'ont pas suffi à remettre à flot un secteur considéré comme sous-capitalisé, tout en étant amplement aidé par les pouvoirs publics puisque l'an dernier, le total des aides d'Etat à la presse écrite dépassait le milliard d'euros.
Les plans sociaux se multiplient: suppressions de postes et reclassements au groupe Amaury (Le Parisien) malgré un programme d'investissement de 30 millions d'euros; réduction drastique prévue à l'imprimerie du Monde (moins 170 postes sur 235 dans la plus haute hypothèse).
Un plan d'économies est en cours à La Tribune, dont la trésorerie se rapproche de zéro et Paris Normandie (Groupe Hersant Médias) risque l'asphyxie financière.
Chute inexorable
Deux titres, France Soir et La Tribune, sont sous protection de la justice, après avoir demandé leur mise sous clause de sauvegarde, une procédure permettant de geler temporairement leurs créances le temps de se redresser. Jusqu'alors, seul Libération avait recouru, avec succès, à une telle démarche.
Au groupe Le Monde, la situation financière est globalement assainie, sauf au Monde Imprimerie où la restructuration est douloureuse et le bras de fer syndicat/direction engagé, au prix de trois jours consécutifs sans sortie des rotatives, du jamais vu dans l'histoire du journal.
France Soir, après plusieurs décennies triomphales, a depuis les années 80 connu une chute inexorable de ses ventes. Le titre est passé de mains en mains jusqu'à sa relance en 2010 par un milliardaire russe qui a injecté en moins de deux ans près de 100 millions d'euros.
Sous sauvegarde jusque fin décembre, France Soir doit annoncer vendredi la fin de son édition papier, une première historique dans la presse quotidienne en France. A la clé, une menace pour plus des deux tiers des effectifs (120 salariés).
A La Tribune, plus de 40 millions d?euros de trésorerie ont été engloutis depuis la reprise du titre il y a trois ans. Dans le même temps, selon des sources syndicales, les effectifs sont passés de 145 personnes (dont 117 journalistes) fin 2008 à 114 salariés (dont 82 journalistes) début 2011.
La négociation d'un plan social supprimant 17 postes est au point mort, syndicats et direction s'en renvoyant la responsabilité.
Pour l'instant, la presse magazine tire encore son épingle du jeu, au point que certains titres misent maintenant sur leurs suppléments en papier glacé pour relancer leurs ventes.

mardi 11 octobre 2011

Article : Le Monde

Sous l'œil de l'Elysée, le groupe Hersant se rapproche du belge Rossel

Le Monde  | 11.10.11 | 15h26  •  Mis à jour le 11.10.11 | 15h52
Le Groupe Hersant Médias (GHM), lourdement endetté, pourrait bientôt passer sous le contrôle du groupe de presse belge Rossel, selon une information de RTL. Une réunion a eu lieu, lundi 10 octobre à Bercy en présence des représentants des deux groupes et des banques créancières pour étudier ce rapprochement. Une nouvelle réunion, vendredi 14 octobre, devrait permettre de conclure un accord entre les deux parties, selon Presse News, qui aboutirait à la création d'une holding détenue à parité par GHM et Rossel.
Dirigé par Philippe Hersant, GHM est ce qui reste de l'empire bâti dans les années 1980 par Robert Hersant. Il est aujourd'hui engagé à hauteur de 300 millions d'euros, dont 80 millions de créances auprès de la famille Hersant et 200 millions de dette bancaire.
Le groupe de presse a réalisé des acquisitions coûteuses au cours des dix dernières années, en achetant la Comareg en 2003 et le pôle des journaux du Sud en 2007, avec La Provence et Nice-Matin. Or, avec Internet, le marché de la presse d'annonces gratuites s'est effondré en 2008, et la Comareg a été placée en redressement judiciaire en novembre 2010.
GHM souffre également d'une structure éclatée en quatre pôles, qui empêche toute synergie notamment en termes d'imprimerie. Les journaux du pôle Sud publient La Provence, Nice Matin, Var Matin et Corse Matin. Le pôle Est contrôle L'Est éclair, Libération Champagne, L'Union de Reims etl'Ardennais. Le pôle normand comprend Paris Normandie. Enfin, le pôle outre-mer, qui fait partie du noyau historique du groupe Hersant, inclutFrance Antilles, France Guyane, Les Nouvelles calédoniennes, La Dépêche de Tahiti et Les Nouvelles de Tahiti.
Le comité interministériel de restructuration industrielle (CIRI) de Bercy a fortement encouragé GHM à trouver un partenaire. Cette opération s'est faite sous l'oeil vigilant de l'Elysée, très attentif au devenir de la presse régionale. Selon RTL, Bercy aurait demandé aux banques de GHM de renoncer à 125 millions d'euros de dettes.
Depuis plusieurs mois, le groupe Rossel, propriétaire du quotidien Le Soir de Bruxelles et de La Voix du Nord à Lille, cherche à investir dans la presse quotidienne régionale française. En juin, Bernard Marchant, administrateur-délégué du groupe Rossel, déclarait au Monde qu'il regardait avec attention toutes les opportunités.
Etape supplémentaire
"La presse régionale est l'un des médias les plus performants, mais il faut qu'il y ait des effets de taille critique et des alliances, insistait-il. A terme, il faudrait deux à quatre groupes en France, guère plus. Nous regardons plutôt les journaux proches de notre zone."
Sollicité lundi soir par l'AFP à Bruxelles, Bernard Marchant a laissé entendre qu'un accord était bien en préparation entre les deux entreprises de presse, tout en soulignant qu'il ne s'agissait pas d'un rachat de Hersant par Rossel.
Le groupe belge avait tenté de réaliser un montage du même ordre avec le groupe Centre-Presse La Montagne fin juin. Le projet avait finalement échoué, le groupe de Clermont-Ferrand renonçant à conclure l'accord.
Le rapprochement entre Groupe Hersant Médias et Rossel marque une étape supplémentaire dans une concentration de la presse quotidienne régionale qui semble inéluctable.
On voit se dégager aujourd'hui six grands pôles. D'abord le groupe EBRA (Est-Bourgogne-Rhône-Alpes), propriété du Crédit Mutuel, qui contrôle une dizaine de quotidiens dans le grand Est ; ensuite, le groupe Ouest France, dirigé par François-Régis Hutin. Viendrait ensuite la nouvelle entité formée par le groupe Rossel et GHM, dont on ne connaît pas encore le périmètre exact. Puis, le groupe Sud-Ouest, propriété de la famille Lemoine, qui cherche un investisseur, et le groupe Centre-Presse La Montagne. Enfin, le groupe Amaury, qui publie Le Parisien.
Xavier Ternisien
Article paru dans l'édition du 12.10.11

lundi 10 octobre 2011

Article : Les Echos.

10/10 | 22:41 | Anne Feitz

Le groupe belge Rossel pourrait racheter Groupe Hersant Média

Le groupe de presse régionale a présenté à ses banques créancières un plan de reprise de certains actifs par le groupe belge Rossel.

Le groupe de presse quotidienne régionale Groupe Hersant Média (GHM) a présenté aujourd'hui à ses banques créancières, lors d'une réunion, un plan de cession partiel au groupe belge Rossel (propriétaire notamment du quotidien « Le Soir » de Bruxelles), qui détient déjà en France « La Voix du Nord ». Ce plan prévoit selon nos informations la cession de certains actifs, mais pas de « Paris Normandie », ni de certains quotidiens d'outre-mer qui n'intéressent pas Rossel.
GHM possède également certains journaux du sud de la France (« Nice Matin », « Corse Matin ») ainsi que « L'Union » de Reims  qui, eux, pourraient être cédés à Rossel. Les détails du montage ne sont toutefois pas encore connus. Selon RTL, qui a révélé l'information, « Paris Normandie » pourrait être contraint de déposer son bilan. Sollicité par l'AFP à Bruxelles, Bernard Marchant, directeur délégué de Rossel, a confirmé des négociations tout en précisant qu'il ne s'agissait pas d'un rachat. Selon « Presse News », un accord de principe pourrait être conclu vendredi 14 octobre.
Alors que GHM est lourdement endetté, ce plan prévoit par ailleurs, selon nos informations, un abandon de créances de la part des banques, d'environ 100 millions d'euros, soit la moitié de l'endettement bancaire total du groupe (200 millions d'euros). Un volet qui est toutefois loin d'être accepté par les banques. Celles-ci sont engagées depuis de longs mois dans un bras de fer avec la direction de GHM qui, ne bénéficiant plus des cash flow confortables dégagés par la Comareg, sa filiale de presse gratuite d'annonces, a du mal à honorer ses échéances. Précipitée dans la crise par la migration des annonces sur Internet, la Comareg a été placée en redressement judiciaire en novembre dernier, et a mis en place un vaste plan de restructuration en février. Mais ses résultats semblent pour le moment insuffisants. (Lesechos.fr du 29 septembre).
De son côté, Rossel ne cache pas qu'il cherche à s'implanter en France. Déjà propriétaire de « La Voix du Nord », il avait annoncé en juin un projet de rapprochement avec le groupe Centre France (« La Montagne »), mais y avait finalement renoncé début septembre faute d'accord avec la Fondation Varenne, actionnaire de Centre France.
GHM a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 700 millions d'euros et emploie environ 7.000 personnes.
ANNE FEITZ

REPRENEURS

Reçu sur la boite mail du Blog :



TOUT A FAIT POSSIBLE
Un salarié ou ou groupement  de salariés exemple : Messieurs GOFFIN et COURTOT  peuvent
avec l'aide de leurs amis proposer un plan de reprise partiel de l'entreprise 
Si plusieurs plans sont présentés au tribunal ,celui ci retiendra le  plan présenté par ces personnes
car elles sont salariés de  l'entreprise
Si hélas c'est le cas ,il ne restera qu'une petite partie du personnel ,car ils ne conserveront que le web
et quelques titres rentables
SUPER JACK POT
pour les centaines de licenciés
ET POUR NOS CHERS REPRENEURS

vendredi 7 octobre 2011

Editéo

Laissé en  commentaire sur ce Blog :

Une bien bonne est arrivée cette semaine !!!!!
Luis S'est fait claquer (au sens propre)!!!
Luis veux jouer au voyou mais n'imaginait pas qu'a pousser le bouchon trop loin le retour de baton ait été clair et net et PAN dans la gueule!!
Un aller et retour dans sa gueule par le PDG d'éditéo !!
Luis venait de lui dire que grace a sa malice il allait le mettre profond de plusieurs millons d'Euros et qu'il devra mettre pas mal de monde au chomage ...
Ce doit être une culture chez Luis la ou il passe arrive le chomage 
Le pauvre a eu sa chemise déchirée et le visage un peu cuit 
Franchement Luis tu ne l'as pas volé cette fois-ci 

jeudi 6 octobre 2011